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La Directrice générale condamne l’attentat terroriste meurtrier perpétré contre la radio et télévision publiques d’Afghanistan

Irina Bokova, Directrice générale de l’UNESCO, a condamné aujourd’hui l’attentat suicide meurtrier commis dans les bureaux de la chaine de télévision et radio publique afghane, RTA, dans lequel 6 personnes, dont 4 employés de la RTA ont péri, dans la ville afghane de Jalalabad le 17 mai.

«Je condamne cette effroyable attaque contre la liberté d’expression et la liberté d’information Â» a déclaré la Directrice générale. « Un tel un acte terrorisme doit nous unir afin de réaffirmer notre engagement à protéger les médias et promouvoir la liberté d’expression, la liberté d’information et le pluralisme des médias Â».

 Â« L’UNESCO se tient au côté du peuple afghan, comme nous l’avons fait depuis le début des années 2000 lorsque nous avons soutenu le développement de l’audiovisuel public et les médias indépendants Â» a ajouté la Directrice générale.

L’attaque a duré plusieurs heures et blessé près de 20 personnes. Les noms des personnes qui ont été tuées n’ont pas été communiqués

Depuis 2001, l’UNESCO a mis en œuvre toute une gamme d'activités pour soutenir la radiotélévision publique, la télévision éducative et les médias indépendants en Afghanistan, notamment en offrant du matériel, des formations et une expertise juridique.

La Directrice générale publie des communiqués sur le meurtre des professionnels des médias conformément à la résolution 29 adoptée par les Etats membres de l’UNESCO au cours de la Conférence générale de 1997 intitulée « Condamnation de la violence contre les journalistes Â». ayant fait l’objet d’une condamnation par l’UNESCO est disponible en ligne.

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Contact médias : Sylvie Coudray, s.coudray@unesco.org, +33 (0) 1 45 68 42 12 

L’UNESCO est l’agence des Nations Unies dont la mission consiste à défendre la liberté d’expression et la liberté de la presse. En vertu de l’Article premier de son Acte constitutif, l’Organisation est tenue « d’assurer le respect universel de la justice, de la loi, des droits de l’homme et des libertés fondamentales pour tous, sans distinction de race, de sexe, de langue, ou de religion, que la Charte des Nations Unies reconnaît à tous les peuples ». À cette fin, elle « favorise la connaissance et la compréhension mutuelle des nations en prêtant son concours aux organes d’information des masses ; elle recommande, à cet effet, tels accords internationaux qu’elle juge utiles pour faciliter la libre circulation des idées, par le mot et par l’image ».