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Les Jeunes Tisserands de la paix ont acquis de compétences complémentaires
Ils bâtissent la paix dans leurs communautés transfrontalières - Cameroun, Gabon, Tchad
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Ils sont les jeunes Tisserands de la paix, des bénévoles qui se préparent à travailler pour le bien de leurs communautés. Ils vont contribuer à la préservation du patrimoine naturel et à la coopération transfrontalière ainsi qu’au renforcement de l’intégration sous-régionale. Ils seront de potentiels agents du changement susceptible de contribuer au développement de leurs localité par leur créativité, leur sens de l’engagement citoyen et communautaire.
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Depuis le mois du Novembre 2021, l'UNESCO forme ces les jeunes Tisserands de la paix dans le cadre du projet de consolidation de la paix largement connu sous son appellation "Les jeunes, tisserands de la paix", mis en œuvre dans les régions transfrontalières du Gabon, du Cameroun et du Tchad. Dans les localités de Ambam, Abang Minko'o (Sud) et Guider et Figuil (Nord) les jeunes tisserands de la paix ont appris comment œuvrer pour la consolidation de la paix dans leurs communautés, combattre la discrimination, le tribalisme, la criminalité et les discours haineux.
La formation des jeunes tisserands de la paix au Cameroun
© UNESCO
Soutenu par le Fonds des Nations Unies pour la consolidation de la paix (PBF) et l'Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC), le projet, d'une durée de 24 mois, met en place un réseau de 1800 jeunes Tisserands de la paix, qui seront des acteurs de la consolidation de la paix et de la prévention de l'instabilité liée aux trafics illicites dans les régions transfrontalières des trois pays. Le projet permettra également d'accompagner 160 jeunes dans des projets d'entrepreneuriat social.
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Pour que les jeunes tisserands de la paix jouent efficacement leur rôle de bâtisseurs de paix dans leurs communautés, leurs capacités sont renforcées. Pendant des jours de formation, un ensemble d'instructeurs, de coachs et de mentors compétents des régions du Nord, de l'Extrême-Nord et du Sud ont participé à diverses sessions pour donner des capacités sur la gestion des conflits, les droits de l'homme, la lutte contre la radicalisation, la détection et la prévention des trafics illicites.
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À l'issue de cette formation, ils retourneront dans leurs communautés pour mobiliser d'autres jeunes tisserands de la paix, renforcer leurs capacités en transférant les connaissances reçues et travailler avec eux pour garantir l'efficacité des mécanismes d'alerte précoce mis en place dans leurs localités pour prévenir les conflits et la violence.ÌýCes jeunes vont participer aux mécanismes d’alerte qui vont être installer et jouent pleinement leurs rôles dans la prévention des conflits et des violences avec la participation des autorités locales et d’autres jeunes.
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Cette formation fait partie d'une série de soutiens au renforcement des capacités qui auront lieu dans tous les trois pays (Cameroun, Gabon, Tchad) qui font partie de cette initiative visant à réduire la criminalité et l'extrémisme violent dans les communautés frontalières communes.
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Pour plus d'informations
Kingsley Nfor Monde
k.nfor@unesco.org
Information du public
Bureau régional pour l'Afrique centrale
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Ils sont les jeunes Tisserands de la paix, des bénévoles qui se préparent à travailler pour le bien de leurs communautés. Ils vont contribuer à la préservation du patrimoine naturel et à la coopération transfrontalière ainsi qu’au renforcement de l’intégration sous-régionale. Ils seront de potentiels agents du changement susceptible de contribuer au développement de leurs localité par leur créativité, leur sens de l’engagement citoyen et communautaire.
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Depuis le mois du Novembre 2021, l'UNESCO forme ces les jeunes Tisserands de la paix dans le cadre du projet de consolidation de la paix largement connu sous son appellation "Les jeunes, tisserands de la paix", mis en œuvre dans les régions transfrontalières du Gabon, du Cameroun et du Tchad. Dans les localités de Ambam, Abang Minko'o (Sud) et Guider et Figuil (Nord) les jeunes tisserands de la paix ont appris comment œuvrer pour la consolidation de la paix dans leurs communautés, combattre la discrimination, le tribalisme, la criminalité et les discours haineux.
La formation des jeunes tisserands de la paix au Cameroun
© UNESCO
Soutenu par le Fonds des Nations Unies pour la consolidation de la paix (PBF) et l'Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC), le projet, d'une durée de 24 mois, met en place un réseau de 1800 jeunes Tisserands de la paix, qui seront des acteurs de la consolidation de la paix et de la prévention de l'instabilité liée aux trafics illicites dans les régions transfrontalières des trois pays. Le projet permettra également d'accompagner 160 jeunes dans des projets d'entrepreneuriat social.
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Pour que les jeunes tisserands de la paix jouent efficacement leur rôle de bâtisseurs de paix dans leurs communautés, leurs capacités sont renforcées. Pendant des jours de formation, un ensemble d'instructeurs, de coachs et de mentors compétents des régions du Nord, de l'Extrême-Nord et du Sud ont participé à diverses sessions pour donner des capacités sur la gestion des conflits, les droits de l'homme, la lutte contre la radicalisation, la détection et la prévention des trafics illicites.
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À l'issue de cette formation, ils retourneront dans leurs communautés pour mobiliser d'autres jeunes tisserands de la paix, renforcer leurs capacités en transférant les connaissances reçues et travailler avec eux pour garantir l'efficacité des mécanismes d'alerte précoce mis en place dans leurs localités pour prévenir les conflits et la violence.ÌýCes jeunes vont participer aux mécanismes d’alerte qui vont être installer et jouent pleinement leurs rôles dans la prévention des conflits et des violences avec la participation des autorités locales et d’autres jeunes.
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Cette formation fait partie d'une série de soutiens au renforcement des capacités qui auront lieu dans tous les trois pays (Cameroun, Gabon, Tchad) qui font partie de cette initiative visant à réduire la criminalité et l'extrémisme violent dans les communautés frontalières communes.
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Pour plus d'informations
Kingsley Nfor Monde
k.nfor@unesco.org
Information du public
Bureau régional pour l'Afrique centrale
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15 février 2022
Dernière mise à jour20 avril 2023
