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Sous le thème « L'information comme bien public Â», la conférence abordera l'urgence de faire face à la menace d'extinction des médias locaux dans le monde, une crise aggravée par la pandémie de COVID-19. Elle proposera des pistes pour relever les défis de notre environnement médiatique en ligne, obtenir davantage de transparence, renforcer la sécurité des journalistes et améliorer leurs conditions de travail, mais également soutenir les médias indépendants afin de mieux reconstruire.

L'événement marque également le , élaborée lors d'un séminaire organisé par l’ONU et l'UNESCO à Windhoek par des journalistes africains militant pour une presse africaine libre, indépendante et pluraliste. Cette Déclaration est à l’origine de la désignation du 3 mai comme Journée mondiale de la liberté de la presse. Elle est considérée comme un jalon qui a ouvert la voie à la déréglementation politique et économique des médias dans le monde, favorisant ainsi la liberté de la presse et le développement de l'indépendance, du pluralisme et de la diversité des médias.

La conférence se déroulera sur cinq jours (comme le séminaire de 1991) et sera organisée autour de 35 sessions et séances plénières, dont trois thématiques, portant sur les questions actuelles de la viabilité des médias, la transparence des plateformes en ligne et le renforcement des capacités en matière d'éducation aux médias et à l'information. Elle comprendra des discours d’ouverture et des entretiens avec des journalistes de renommée mondiale, des leaders des médias et des technologies, des spécialistes et des militants. Les personnes inscrites pourront se rencontrer, interagir avec les intervenants, accéder à des podcasts dédiés, assister à des manifestations artistiques et à des projections de films sur la plateforme en ligne de la conférence.

Cette année, la Conférence mondiale sur la liberté de la presse sera associée à des célébrations régionales en accueillant six Forums régionaux pour se concentrer sur des aspects locaux de la liberté de la presse et explorer les tendances et les défis actuels. Les Forums s'appuient sur la série historique de séminaires régionaux déclenchée par le séminaire de 1991 à Windhoek, qui a inspiré des déclarations régionales visant à promouvoir une presse libre, indépendante et pluraliste suite à des séminaires similaires organisés à Alma-Ata (1992), Santiago (1994), Sana'a (1996) et Sofia (1997).

L'UNESCO et l'Université de Namibie (UNAM) accueillent la sixième édition de la Conférence académique sur la sécurité des journalistes (). L'édition 2021 de la Salle de presse jeunesse est organisée en partenariat avec l'Université des sciences et des technologies de Namibie. Les participants assisteront à la conférence essentiellement de manière virtuelle et pourront écouter les conférences des orateurs invités.

Des commémorations spéciales du 30e anniversaire de la Déclaration de Windhoek auront lieu tout au long de la conférence.

Nous invitons les membres de la communauté de la Journée mondiale de la liberté de la presse à travers le monde à partager une courte vidéo de 30 secondes répondant à trois questions liées à la célébration de la CMLP de cette année. Envoyez votre vidéo dès maintenant ! .

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[*] Le fait d'exprimer le souhait de voyager n'implique pas le droit automatique d'entrer en Namibie et/ou d'accéder aux locaux de la conférence. Vous serez contacté ultérieurement pour confirmer la validité de votre voyage et recevrez toutes les informations nécessaires sur les exigences de voyage liées au Covid et pour soumettre une demande de visa pour la Namibie, le cas échéant. En raison des restrictions liées à la crise du Covid, seul un nombre limité de participants sera autorisé à participer physiquement à la Conférence. Toutes les personnes souhaitant y participer en ligne seront acceptées.