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Quand les sciences prennent le large
Le Vendée Globe, la plus grande course à la voile autour du monde en solitaire, a pris le départ le 8novembre aux Sables-d’Olonne (France). Avant de monter à bord, une dizaine de skippers ont embarqué des instruments d’observation scientifique. Au total, sept bouées météorologiques et trois flotteurs profileurs du programme Argo ont été déployés dans des zones éloignées, peu fréquentées par les navires de recherche.
Cette collaboration s’inscrit dans le cadre d’un partenariat signé en janvier2020 entre l’UNESCO et l’IMOCA (International Monohull Open Class Association) pour soutenir les sciences océaniques et la protection de l’océan. Elle est coordonnée par le Système mondial d’observation de l’océan (Global Ocean Observing System GOOS), avec le soutien de la Commission océanographique intergouvernementale (COI) de l’UNESCO. Près de 2000flotteurs profileurs et bouées dérivantes doivent être déployés tous les ans.
Les observations recueillies fournissent des données clés sur l’océan et l’atmosphère qui sont utilisées dans les études sur le climat, les prévisions météorologiques et la surveillance des écosystèmes marins.Ce réseau mondial in situ, mis en œuvre par 86pays, est coordonné internationalement par le centre international d’excellence pour la coordination et la surveillance des systèmes d’observation météo-océanographiques (OceanOPS), avec le concours de la COI et de l’Organisation météorologique mondiale.
Actuellement, 10000instruments d’observation in situ, notamment des réseaux de flotteurs profileurs autonomes, bouées dérivantes et fixes, robots sous-marins pilotés, navires, marégraphes, et même des mammifères marins, surveillent l’océan mondial et recueillent les principales caractéristiques physiques et biogéochimiques de l’océan.
Aux origines de la Commission océanographique intergouvernementale,Le Courrier de l'UNESCO, janvier-mars2021
Lecture complémentaire:
Vendée Globe 2020: skippers et scientifiques ensemble pour une meilleure connaissance de l’océan
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Cette collaboration s’inscrit dans le cadre d’un partenariat signé en janvier2020 entre l’UNESCO et l’IMOCA (International Monohull Open Class Association) pour soutenir les sciences océaniques et la protection de l’océan. Elle est coordonnée par le Système mondial d’observation de l’océan (Global Ocean Observing System GOOS), avec le soutien de la Commission océanographique intergouvernementale (COI) de l’UNESCO. Près de 2000flotteurs profileurs et bouées dérivantes doivent être déployés tous les ans.
Les observations recueillies fournissent des données clés sur l’océan et l’atmosphère qui sont utilisées dans les études sur le climat, les prévisions météorologiques et la surveillance des écosystèmes marins.Ce réseau mondial in situ, mis en œuvre par 86pays, est coordonné internationalement par le centre international d’excellence pour la coordination et la surveillance des systèmes d’observation météo-océanographiques (OceanOPS), avec le concours de la COI et de l’Organisation météorologique mondiale.
Actuellement, 10000instruments d’observation in situ, notamment des réseaux de flotteurs profileurs autonomes, bouées dérivantes et fixes, robots sous-marins pilotés, navires, marégraphes, et même des mammifères marins, surveillent l’océan mondial et recueillent les principales caractéristiques physiques et biogéochimiques de l’océan.
Aux origines de la Commission océanographique intergouvernementale,Le Courrier de l'UNESCO, janvier-mars2021
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12 janvier 2021
Dernière mise à jour20 avril 2023