91Â鶹¹ú²ú¾«Æ·×ÔÅÄ

Dans son discours d'ouverture, Marielza Oliveira, Directrice des partenariats et du suivi des programmes opérationnels du Secteur Communication et Information de l’UNESCO, a souligné comment dans les faits, l'Internet était devenu le nouveau « bien public Â». Elle a rappelé l'importance de la mise en Å“uvre des pour créer un cyberespace adhérant à des principes humanistes, améliorant le bien-être des individus, contribuant au développement durable, promouvant et protégeant les droits de l'homme.

Un panel d'experts multipartites composé de Dawit Bekele représentant l'Internet Society, de Valeria Betancourt de l'APC (Association pour le progrès des communications), de Lina Rainienè, coprésidente du Groupe de travail sur les droits de l'homme et le droit international du Comité consultatif des gouvernements de l'ICANN et d’Antoine Vergne représentant Missions Publiques, a rappelé son soutien collectif à la Coalition dynamique sur les Indicateurs sur l’universalité de l’Internet (IUI) et souligné la pertinence de sa nature multipartite dans la construction de la collaboration numérique et la promotion des droits de l'homme en ligne, en pleine conformité avec les mandats et les activités des organisations respectives.

Anja Gengo, du Secrétariat du Forum sur la gouvernance de l'Internet (FGI) et des initiatives nationales et régionales, a rappelé aux participants que la « Coalition dynamique a pour mission de s'attaquer à la fracture numérique Â» et proposé que cette dernière « centre son mandat sur l'autonomisation des populations locales en fournissant des connaissances, des outils de renforcement des capacités et des infrastructures aux groupes vulnérables tels que les personnes vivant dans des zones rurales et isolées Â». Elle a salué le développement de la collaboration entre les initiatives nationales et régionales du FGI et l'UNESCO dans la mise en Å“uvre des évaluations nationales des indicateurs DOAM-X de l'universalité de l'Internet et dans les discussions sur l’élaboration de politiques.

Xianhong Hu, point focal de l'UNESCO pour les principes DOAM-X, a évoqué certaines expériences d'évaluation nationale et souligné comment les participants apprécient la façon dont le cadre d'indicateurs génère des preuves de la qualité de l'Internet en termes de respect des droits de l'homme, d'ouverture, d'expériences d'accès inclusif des utilisateurs et de gouvernance multipartite. Lyad Harasheh, chercheur principal pour l'évaluation nationale palestinienne des indicateurs DOAM-X de l'universalité de l'internet, a également partagé son expérience nationale ainsi que les leçons tirées, en soulignant le processus et la méthodologie de collecte des données.

Les participants ont convenu que la Coalition dynamique sur les Indicateurs sur l’universalité de l’Internet, en plus de favoriser la collaboration numérique et de faire progresser les droits de l'homme, conformément à la , contribuait également à l'inclusion numérique. Cette contribution est bénéfique dans un contexte où la fracture numérique entre les personnes connectées et celles qui ne le sont pas est plus visible que jamais, en raison de la pandémie de COVID-19.