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Vers la mise en place d’un Festival International de la Rumba Congolaise
Cet événement accompagné par l'UNESCO, conformément à la convention de 2003, a réuni une vingtaine de participants pour évaluer la mise en œuvre de la convention et peaufiner des stratégies visant à promouvoir la Rumba congolaise, un élément du patrimoine culturel immatériel de l’humanité.
Initiée par la Commission nationale chargée de la valorisation de la Rumba, cette activité a permis de dresser un bilan des actions entreprises et de planifier des projets futurs.
L'UNESCO, par son engagement, a renforcé la promotion et la sauvegarde de la Rumba Congolaise.
La convention de 2003 de l’UNESCO a permis une large reconnaissance de l'importance de la sauvegarde des pratiques vivantes, des expressions, des savoir-faire et des connaissances des communautés à travers ce patrimoine qu’est la Rumba.
Pendant deux jours, les participants ont réfléchi à la mise en place et à l’intensification des activités pérennes et labélisées de la Rumba congolaise, quatre ans après son inscription sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l’Humanité.
Parmi les actions préconisées, le professeur Yoka Lye Mudaba, président de la Commission nationale chargée de la valorisation de la Rumba, a mentionné la création d’un observatoire, d’un festival international de la Rumba, et d’un musée dédié à la Rumba, ainsi que d'autres initiatives.
Sous le Haut patronage du ministère de la Culture, des Arts et du Patrimoine, le lancement de cet atelier a été présidé par la directrice du ministère, marquant une étape importante dans la valorisation de la Rumba congolaise.
