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Organisé en collaboration avec l'Agence suédoise de coopération internationale au développement (ASDI), l'évènement a exploré les risques et les opportunités de l'Internet et s'est concentré sur la façon dont les Indicateurs sur l’universalité de l’Internet de l'UNESCO peuvent contribuer à la co-création d'un écosystème Internet respectant les principes DOAM-X de Droits de l’homme, d’Ouverture, d’Accessibilité, de gouvernance Multipartite et d’Inclusion.

Dans son discours d'ouverture, Marielza Oliveira, Directrice des partenariats et du suivi des programmes opérationnels de l'UNESCO, a souligné comment la pandémie de COVID-19 avait entraîné une accélération de la numérisation de la vie, de l'apprentissage, du travail et des loisirs.

Anriette Estherhuysen, Directrice exécutive d'APC et Présidente du Groupe consultatif multipartite du FGI, a souligné que les parties prenantes avaient besoin de preuves pour s'attaquer à la fracture numérique, comprendre ses effets sur la population et formuler des recommandations pouvant évoluer en politiques nationales exploitables.

Sadaf Khan, Grace Githaiga et Matthias C. Kettemann, les principaux chercheurs des évaluations nationales des Indicateurs sur l’universalité de l’Internet au Pakistan, au et en Allemagne, ont partagé leurs expériences nationales. Ils ont souligné que l'approche holistique et multipartite des IUI favorisait les synergies et les partenariats entre les différentes parties prenantes de l'Internet. Ils ont également recommandé qu’une analyse de l'universalité de l'Internet soit régulièrement effectuée afin d'identifier en permanence les lacunes et de saisir les opportunités.

Les considérations numériques font désormais partie intégrante de l'élaboration des politiques. Les experts ont conclu qu'il était dans l'intérêt de chaque pays d'appliquer les principes et indicateurs DOAM-X de l'UNESCO pour créer un écosystème numérique inclusif et fondé sur les droits de l'homme, en ne laissant personne pour compte.

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