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La Norvège donne de l’élan aux activités de l’UNESCO sur l’éducation à la santé et au bien-être
Le 30 novembre 2022, l’UNESCO et le Gouvernement norvégien ont réaffirmé leur détermination et leur engagement mutuels à promouvoir . Cette journée a été marquée par la signature d’un additif à leur accord actuel, qui a pour objectif de renforcer le soutien aux activités de l’UNESCO sur l’éducation à la santé et au bien-être à l’échelle mondiale au moyen d’une aide financière supplémentaire de 20 millions de couronnes norvégiennes (environ 2 millions de dollars des États-Unis) en 2022-2023.
La Norvège, par l’entremise de l’Agence norvégienne de coopération pour le développement (NORAD), appuie de longue date les activités de l’UNESCO dans des domaines tels que la prévention , l’élimination de la et le renforcement des services de santé scolaire. La coopération actuelle a été resserrée tout au long de l’année grâce à la NORAD, qui a apporté en 2022 un soutien financier total de 70 millions de couronnes norvégiennes (environ 7 millions de dollars des États-Unis) en faveur des activités de l’UNESCO sur l’éducation à la santé et au bien-être.
Le soutien sans faille de la Norvège au service de la santé, de la sécurité, de l’inclusion et du bien-être des apprenants s’avère d’autant plus précieux en cette période critique où nous devons rattraper les retards d’apprentissage et transformer l’éducation pour la rendre plus équitable et pertinente ainsi que pour améliorer sa qualité.
Cette aide supplémentaire permettra à l’UNESCO d’étoffer la base de données factuelles sur les approches reposant sur le programme d’enseignement, telles que l’éducation sexuelle complète, qui ont des effets positifs sur la promotion de l’égalité des genres, la prévention du VIH et des grossesses précoces ainsi que la réduction de la violence.
D’autres activités consistent notamment à élaborer un recueil de bonnes pratiques sur des thèmes tels que le handicap ou la santé mentale ; à élargir la coopération en matière d’élimination de la violence à l’école ; et mobiliser les médias afin qu’ils rendent compte de récits de terrain relatant des changements et des résultats.
À l’échelon régional, davantage d’intérêt et d’efforts seront consacrés à l’Afrique orientale et australe ainsi qu’à l’Afrique occidentale et centrale, ce qui permettra de renforcer les capacités des enseignants et des responsables de l’élaboration des programmes d’enseignement ; d’appuyer les dispositifs de lutte contre la violence à l’école ; et d’aboutir à des innovations de basse technologie visant à renseigner sur la santé sexuelle et procréative et les droits en la matière.
Ces efforts devraient améliorer les résultats du programme « Nos droits, nos vies, notre avenir » qui est mis en œuvre dans 33 pays d’Afrique. Ce programme a déjà bénéficié à 325 172 enseignants et à 30 202 132 élèves.
Le soutien constant de la Norvège en faveur de la Stratégie de l’UNESCO sur l’éducation pour la santé et le bien-être a contribué à la mise en place d’environnements scolaires sûrs et inclusifs au sein de systèmes résilients de santé scolaire.
Il est inacceptable que la majorité des jeunes ne possèdent pas les connaissances nécessaires sur leur santé et leurs droits en matière de sexualité et de procréation. L’éducation sexuelle complète dispensée dans les établissements scolaires peut permettre aux jeunes de prendre des décisions réfléchies sur leur avenir. Nous chérissons notre partenariat avec l’UNESCO. Ensemble, nous allons faire en sorte que l’éducation sexuelle complète de qualité devienne une réalité pour toutes et tous.
Avec d’autres partenaires fidèles à l’instar de la Norvège, l’UNESCO poursuivra ses activités, qui sont fondées sur la définition de solutions communes aux défis d’aujourd’hui et de demain, puisque l’éducation joue un rôle crucial dans la réduction de la pauvreté, l’égalité des genres et la bonne santé.
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