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Lutte contre le trafic illicite du patrimoine culturel mobilier en RDC

Le Bureau de l’UNESCO à Kinshasa a contribué au renforcement des capacités des fonctionnaires du Ministère de la Culture, arts et patrimoines, et autres acteurs clés. Ces différents bénéficiaires : La police, la douane, les musées et la Direction générale des migrations; sont concernés par la problématique de la protection et de la lutte contre le trafic illicite du patrimoine culturel mobilier en République Démocratique du Congo.
Placé sous l'égide du Ministère de la Culture, des Arts et du Patrimoine, l'atelier de Mbanza-Ngungu a bénéficié du soutien de l'Office Fédéral de la Culture Suisse et de l'UNESCO.

Cet atelier s'inscrivait dans une démarche plus large visant à renforcer la politique nationale de la RDC contre le trafic illicite d'objets culturels.
Il s'est appuyé sur des conventions internationales telles que la Convention de 1954 (protection du patrimoine culturel en cas de conflit armé), celle de 1970 sur la lutte contre le trafic illicite des biens culturels, et la convention d’UNIDROIT de 1995 (essentielle, mais non encore ratifiée par la RDC).

Face à la complexité croissante du trafic, notamment en ligne, cet atelier visait à doter les participants des outils nécessaires pour protéger le patrimoine culturel en temps de paix comme en temps de conflit.
Trente-cinq (35) participants ont été donc formés, et des recommandations ont été formulées pour améliorer la politique de lutte contre le trafic illicite des bien, et promouvoir la synergie d’actions entre les différents acteurs concernés.